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DÉMARCHE PROJET
INTERVENTIONS DES EXPERTS
QU'EST CE QUE L'ÉCOLOGIE ?
RÉFÉRENCES
ACCUEIL
PLANNING COLLECTIF
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ÉCHANGE DE GROUPE — COMPTES-RENDUS
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SEMAINE 1
SEMAINE 3
Pour rappel ce projet tourne autour de la thématique du livre durable et plus largement de l'Édition durable. On sera accompagné de nos deux enseignants Mr. Aucompte et Mr. Laverdunt et également de plusieurs professionnels appartenant au monde du game design, de l'édition et de la création graphique. Ces professionnels ont un rôle crucial à la fois pour nous donner des conseils précieux et également comme parti prenante. Pour ce projet on aura aussi à faire des analyses et un travail de recherches assez dense donc pour nous aider à la tâche on a réalisé un planning collectif.



Modification des cartes et réalisation de la fresque sur le livre durable

Échange et discussion : Préciser certaines cartes et rentrer dans la problématique
Test avec les autres groupes : voir ce qui marche et les choses à améliorer
Répartition des tâches : Vinciane (édition) s'occupe du manuel et Gabrielle / Laëtitia (Didactique et Texture) s'occupent des propositions de jeux.


Échange autour du blog : ce qu'on garde et ce qu'on doit compléter

Répartition des tâches à faire sur le blog : écriture des textes, importer les photos, présentation des experts, références et sources à mettre, les jeux testés...
Finalisation des différents comptes-rendus de chaque intervention ( 4 pour le moment)


Concrétisation des idées de jeu avec Guillaume Lenoble: début de la réalisation de prototypes après en avoir listé le contenu. Tous parcours confondus, même le parcours édition, ont cet objectif. Matériel (pions colorés, cartes vierges, dés aux apparences multiples, sabliers) mis à disposition.
Travail individuel, pas de concertation en équipe.
SEMAINE 4
SEMAINE 2
SEMAINE 5
SEMAINE 6
Les principaux objectifs qu'on a fixé lors de la première semaine :
S'immerger et comprendre les enjeux de la demande
Poser des questions sur les éléments ambigües du sujet
Comprendre et réfléchir autour de notre problématique
Pour s'immerger dans le sujet, on a lu et échanger autour des documents de références donnés. Toutes les trois on a répondu aux questions en utilisant que certains documents et par la suite on a mis tout en commun et discuter des principales problématiques que soulève notre sujet.
Pendant cette semaine, on a réfléchi de manière collective sur la réalisation de cartes en vue de la création de la fresque sur le livre durable (avec l'intervenant Charles Hédouin). Laëtitia et Vinciane se sont chargées du texte et des inscriptions sur les cartes tandis que Gabrielle les a illustré et présenté à la classe.
Les objectifs de cette semaines étant, grâce à la réalisation de cette fresque d'établir les objectifs pédagogiques qui vont apparaître dans nos jeux / manuels. On a pu chacune de notre côté réfléchir et aisément établir nos premières propositions de jeux / manuels. Et par la suite, on a du commencer à éditer et créer le blog. Le blog est un outil qui permet à la fois de retracer notre démarche individuelle et notre démarche en tant que collectif.
Chacune avance de son côté sur son projet. Peu de discussion en groupe.
Première intervention de Yoann de Roeck, cours général puis entretien rapide avec les éditions. Il n’a malheureusement pas pu réellement se pencher sur le projet de chacun car le temps manquait. Vinciane
Pendant ce temps là les didactiques et textures progressent sur leurs jeu. Peu d’élèves ont déjà choisi l’axe qu’ils allaient développer mais le passage de Pauline Arnaud a permis de les mettre à plat et de clarifier certaines choses. Laëtitia n’a pas ses axes formulés encore bien qu’elle en ai les idées et Gabrielle
(jusqu'au 6 mars)
Échange sur ce qu’il reste à faire pour le blog. Il ne faut en effet pas délaisser la partie collective au profit de l’individuelle.
Nous répartissons les différentes tâches à terminer: Laëtitia doit finir la page sur la fresque du livre durable, et sur le numérique, Gabrielle finir la page intervention des experts, et Vinciane finir cette page-ci, sur les échanges de groupe, dont Gabrielle s’était chargée jusque-là.
Chacune avance de son côté sur son projet. Peu de discussion en groupe.
Première intervention de Yoann de Roeck, cours général puis entretien rapide avec les éditions. Il n’a malheureusement pas pu réellement se pencher sur le projet de chacun car le temps manquait. Vinciane
Pendant ce temps là les didactiques et textures progressent sur leurs jeu. La majorité des élèves ont choisi l’axe qu’ils allaient développer. Gabrielle a choisi l’axe et Laëtitia le.
RÉUNION 1 : JEU DE GABRIELLE
RÉUNION 2 : JEU DE LAËTITIA
RÉUNION 3 : LIVRE DE VINCIANE
Au cours de cette réunion de groupe, nous nous sommes concentrés sur l'évolution du projet de Vinciane, en discutant des axes envisagés pour son livre. Les trois axes principaux étaient les suivants : Axe 1 : Donner les pratiques et solutions pour un livre durable par un manuel technique : vraiment scolaire inspiré de manuel scolaire de basse Axe 2 : Dénoncer les abus concernant le cycle de vie du livre en heurtant les sens du lecteur et Axe 3 : Montrer les problèmes et solutions à propos du livre grâce à la contribution du lecteur.

Pour l'Axe 1, Vinciane a souligné que l'objectif était de créer un livre pratique et utilitaire, s'inspirant de la structure des manuels scolaires de base. Elle a mentionné l'idée d'incorporer des petits encadrés pour faciliter la navigation dans le livre, ainsi qu'un format de poche qui permettrait une transformation facile, similaire à un agenda. Pour ce premier axe, l'approche est fonctionnelle et non ludique.

En ce qui concerne l'Axe 2, Vinciane a fait de la calligraphie et a utilisé la typographie "Roboto Mono" pour donner un effet percutant. En ajoutant une reliure en spirale, elle s'est inspirée des cahiers d'activités pour enfants, qui incluent de petites activités. Après discussion, elles avons décidé de ne pas retenir l'idée de la mise en page encadrée, car le rendu final après découpe et assemblage du livre n'était pas satisfaisant de plus, les manuels scolaires traditionnels n'attirent généralement pas les enfants. Vinciane a décidé de faire évoluer la typographie en passant d'un style timide (typo repassée plusieurs fois au feutre) à un style plus spontané avec un feutre épais non repassé, cela donne un rendu visuel plus convaincant.

En ce qui concerne l'image, Vinciane a utilisé des illustrations sobres en noir et blanc pour créer un effet punk. Nous avons également évoqué la possibilité d'incorporer une typographie grunge (volontairement négligée) dans le design global du livre, en s'inspirant des fanzines d'époque. Cette approche visuelle contribuerait à renforcer le message que Vinciane souhaite transmettre avec l'Axe 2.

Enfin, pour l'Axe 3, Vinciane souhaitait créer un livre accessible, offrant aux lecteurs la possibilité de l'imprimer chez eux. Cette approche permettrait de faciliter la distribution et d'encourager la participation des lecteurs en leur permettant d'apporter leurs propres contributions au livre.

En conclusion, cette réunion de groupe nous a permis d'affiner le projet de Vinciane. Les axes choisis, tels que l'inspiration d'un manuel scolaire pour un livre durable, la volonté de heurter les sens du lecteur et de montrer les problèmes et solutions grâce à la contribution du lecteur, ont été abordés.

De plus, j'ai suggéré d'inclure un QR code à la place du code-barres au dos du livre. Ce QR code permettra aux lecteurs de scanner et de télécharger le livre, offrant ainsi une option pratique pour imprimer le livre chez eux. Cela permet de rendre le livre accessible à tous, tout en facilitant sa distribution et en encourageant la participation active des lecteurs à travers l'aspect papier mais également l'aspect numérique. Pour aller plus loin au niveau de la pollution numérique, je pense également que s'assurer que le fichier à télécharger n'est pas trop volumineux permettrait de compléter sa démarche.
Dans l'ensemble, nous avons apprécié les différentes pistes de recherche de Vinciane. Les ajustements apportés lors de cette réunion lui permettront de créer un livre à la fois pratique, percutant et engageant.

Dans la mesure où l'article de Vinciane avait un discours alarmiste sur les dangers de la pollution, il lui a permis d'appuyer son propos lors de la réalisation de son manuel. Son plan est le suivant :
Librairie et livre à liquider
Bibliothèque et livre à éliminer
Particulier et livré à congédier
Les solutions en bref pour tous les acteurs de la chaîne du livre.
J'ai beaucoup apprécié son travail car même sans forcément prendre le temps de lire tout le contenu. La lecture du sommaire qui comporte une touche d'humour permet au lecteur de directement adhérer à son propos et d'avoir envie de lire son livre.

Laëtitia
Gabrielle a changé de projet au cours de semaines de préparation.
Au départ, elle était partie sur un jeu de rôle basé sur une situation dystopique. “Il ne reste sur la Terre qu’un seul livre que 2 camps veulent récupérer: les uns, pour le détruire, afin de ne pas faire de ce livre un survivant, une exception, et les autres, pour le garder, comme une sorte de relique. “
Au cours de l’histoire se posaient des problématiques actuelles, et chacun avait un rôle caché. Se posaient des choix, a, b ou c , desquels découlaient une action.
Mais cette idée était trop compliquée à développer, et Gabrielle est partie sur une toute autre.

Ne voulant pas partir sur le thème de la chaîne du livre comme Laëtitia, elle s’est concentrée sur les réponses écologiques aux enjeux de la fin de vie.
Reprenant le système du jeu du Menteur, elle a ainsi remplacé la famille par les solutions à la fin de vie du livre.

Nous discutons de la place du graphisme au sein de notre projet.
Gabrielle regrette en effet de ne pas avoir pu davantage développer son axe illustration par manque de temps. Elle a de fait passé beaucoup de temps à créer la mécanique de son premier jeu, qui finalement, à cause de sa trop grande complexité, à été laissée de côté.
Peut être aurait-on dû davantage insister sur la complexité de créer un gameplay complet. Ainsi, nous aurions eu plus de temps à consacrer au graphisme.

Nous revenons à l’axe choisi par Gabrielle, le second, porté sur l’aspect ludique avec ses dessins faits à la main. Le design des cartes est écologique grâce à sa simplicité : le papier est blanc, brut, comporte peu de couleurs, peu de remplissage. Cependant, les couleurs choisies sont marquées afin d’être suffisamment visibles.
Nous nous penchons sur la carte piège, la fausse bonne solution. Gabrielle nous demande si elle ressort assez, si on la distingue parmi les autres. Laëtitia et moi ne sommes pas d’accord : elle pense qu’elle est assez marquée grâce aux taches rouges du fond qui sont intenses et se distinguent, et moi, je la trouve trop semblable aux autres, pas assez alarmante. Je propose comme idée de mettre les illustrations sur fond rouge, mais sans doute serait-ce une différence trop marquée. Gabrielle ne veut pas écrire “carte piège”, elle souhaite que le caractère alarmant se dénonce de lui-même par son aspect.

Nous évoquons enfin son article, qui ne l’a pas aidé pour le graphisme de son jeu. En effet, celui-ci prône le réalisme en tout et pour tout comme clé pour entrer dans le jeu, et Gabrielle est en désaccord avec ce point de vue. Selon elle, il serait trop facile de devoir simplement être réaliste pour accrocher les joueurs.
L’article l’a cependant aidé pour son gameplay, expliquant que pour capter les joueurs, il faut que le début de la partie soit assez facile, puis, au fur et à mesure de l’avancement de cette dernière, plus corsé. C’est pour cette raison qu’elle a apprécié s’inspirer du Menteur qui, au fur et à mesure que les tours passent, devient de plus en plus épicé. En effet, l’on hésite au début à tricher, et surtout à accuser les autres de mensonge, mais plus le jeu avance, plus l’on prend des risques, et plus il est difficile de feinter.
Vinciane
Laëtitia a choisi de spécifier son jeu autour de la problématique de la chaîne du livre en partant de l’auteur jusqu’au lecteur. Le but de jeu ici est de replacer et assembler les cartes entre elles : faire un lien entre une ou des actions avec les acteurs de la chaîne du livre. Et il y a un troisième type de carte : le bilan carbone (en pourcentage), cela permet d’avoir une vision plus concrète pour chaque secteur de leur impact écologique. Pour ces différentes informations, Laëtitia a récolté ses données dans les documents qu’on avait dès le début et en plus dans la revue de presse Capitaine Carbone.
Après ses différentes recherches, celle-ci a fait des expérimentations avec des éléments naturels et organiques comme des graines, des fibres naturelles pour apporter un côté tactile au jeu cependant avec Vinciane on a questionné le lien direct avec le sujet du livre durable car cela reste ambiguë c’est pour cela que Laëtitia n’a pas continué cette voie-ci.

Elle est partie sur l’axe « Exprimer le cheminement du livre par la représentation directe » . Le parti pris ici est de représenter les acteurs grâce à des mises en scènes faites et photographiées par Laëtitia. Vinciane et moi, on a trouvé l’idée plus que pertinente car cela amène un côté concret et pragmatique, et le public peut facilement s’imaginer les actions ou les acteurs dans la réalité.

Laëtitia doit encore travailler sur le choix des couleurs et sur la cohérence des images entre elles. En effet, elle aimerait faire un jeu qui nécessite peu d’encres au niveau de l’impression pour rester dans cette cohérence écologique, on lui a conseillé de tester sur différents papiers et de ne pas obligatoirement utiliser la couleur verte pou signifier l’écologie. On lui a conseillé de continuer de travailler ses images pour développer au mieux son axe.

Par ailleurs, il était difficile également de faire un lien direct avec son article car celui-ci aborde en profondeur un jeu numérique qui a pour thème le travail ainsi celle-ci a pris des inspirations d’autres jeux.

Cette réunion a permis de comparer nos deux jeux qui ont des mécaniques à l’opposé, ici le jeu doit être joué dans des contextes d’ateliers découvertes ou de salons car celui-ci ne peut être joué qu’une seule fois contrairement au mien qui s’inspire d’un jeu familial. C’était hyper intéressant de comparer nos deux jeux car les partis pris choisis sont complètement différents tout en répondant à la problématique du livre durable.
Gabrielle